Saint-Andéol-de-Berg

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Saint-Andéol-de-Berg est une commune française, située dans le département de l'Ardèche et la région Rhône-Alpes, à 5 kilomètres de Villeneuve-de-Berg. Ses habitants sont appelés les Saint-Andéolais.

Sommaire 1 Histoire 2 Traditions : Fêtes et Jeu 3 Saint Andéol 4 Bibliographie 5 Administration 6 Démographie 7 Voir aussi 8 Liens externes

[modifier] Histoire

Le territoire de Saint-Andéol-de-Berg (1506 ha) était habité au Néolithique (6000 à 2500 avant J.C.). On a trouvé des tombes de cette époque aux quartiers du Clut ("Clux" au Moyen Âge) et du Pouzet. L’Arbre Ferrat, point culminant du pays situé à 2 km 500 au nord du village, à 500 mètres d’altitude, est un vestige du culte de la Nature. On plantait des clous dans son tronc à la suite d'un vœu ou en mémoire d'une grâce obtenue (ex-voto).

La date de la fondation du village n’est pas très sûre. On pense que ce fut en l'an 411, après la destruction d'Alba-la-Romaine. Celle-ci provoqua la fuite d’un certain nombre d’habitants dans les forêts qui couvraient alors entièrement la région de Berg. Ces fuyards constituèrent sans doute la première agglomération. Le mas Deborne (Patafla) existait en l'an 877, comme l'atteste une charte de Charles le Chauve (Roi de France 810-877 et Empereur d'Occident 875-877). Les moines de l'Abbaye de Mazan fondèrent la "Grange de Berg" au XII^e siècle (siècle). Ils l’exploitèrent jusqu’à la Révolution française. Au début du XIII^e siècle, à la suite de dons et d'acquisitions, ils possédaient tout le pourtour de Saint-Andéol-de-Berg. Les conflits pour l'usage des sources et des paturages étaient fréquents entre les religieux et les habitants de Saint-Andéol-de-Berg qui vivaient surtout d'élevage. C’est ainsi qu’en 1280, ceux-ci tuèrent un moine et pillèrent la Grange. Ce drame accéléra la fondation de la Bastide de Villeneuve-de-Berg, en 1284, par le Roi de France Philippe III le Hardi, fils de Saint Louis et l’Abbé de Mazan, propriétaire de la commune de Villeneuve-de-Berg et désireux de se mettre sous la protection de la Couronne.

Blonde de Deux-Chiens, baronne d'Alba , suzeraine de Saint-Andéol-de-Berg, y possédait un petit château fort qu'elle légua à son fils le 13 juin 1297. On en a retrouvé les fondations lors de fouilles entreprises en 1842 dans le jardin de l'ancienne cure, entre la croix qui marque sur la Place actuelle du village, l'emplacement de l'ancienne église (datée du XII^e siècle et placée sous la protection de Saint Andéol et de Saint Léonard), et la maison qui borde les jeux de boules de la Place. La translation dans le cimetière actuel des restes de l'ancien cimetière, situé entre la croix de la Place et l'église actuelle, a aussi été effectuée en 1842.

La première pierre de l'église actuelle, visible à gauche du portail d’entrée, a été bénite le 24 juillet 1854. Le gros-œuvre fut achevé en 1855 et l'édifice livré au culte. "Du style ogival de l’architecture primaire du XIII^e siècle", suivant les termes mêmes de l’architecte (Monsieur Reymondon), il est situé à une altitude de 375 mètres. Au-dessus du porche d'entrée, sont gravées les phrases suivantes : "Hæc domus dei et porta cæli vere domine est in locoisto" / "Salve regina matermisericordiæ / 1855" ("Le Seigneur se trouve vraiment dans ce lieu qui est la maison de Dieu et la porte du Ciel" / "Salut, O Reine, Mère de miséricorde / 1855").

On peut lire sur les chapiteaux des deux premières colonnes de la nef, les inscriptions suivantes : à droite, "Anno Domini MDCCCLV" (Année du Seigneur 1855) et, à gauche, "Maire - Eti. Guigon / J.B. Vacher - Curé" (Etienne Guigon étant le Maire de Saint-Andéol-de-Berg et Jean-Baptiste Vacher en étant le Curé, en 1855). On dit que l'Impératrice Eugénie, Eugénie de Montijo, offrit l’Ostensoir. La chapelle de droite fut l’une des premières à être élevée en l’honneur de la Vierge Marie, 1855 étant l’année de la promulgation du Dogme de l’Immaculée Conception.

En 1913, à l’initiative de l’abbé Denis Barbe, dernier curé résident de Saint-Andéol-de-Berg de 1907 à 1934, une souscription publique permit l'installation d'une nouvelle cloche, sur laquelle on peut lire: "BURDIN Aîné, fonderie 1913 - D. BARBE curé St-Andéol-de-Berg - SANCTA MARIA ORA PRO NOBIS" (SAINTE MARIE PRIEZ POUR NOUS). On dit que la cloche de l’ancienne église, fondue en 1744, fut provisoirement sauvée de la réquisition, pendant la Révolution française, grâce aux habitants qui l’enterrèrent dans une pièce de terre située au-dessus du pré de Landreau, avant de finalement la livrer au district du Coiron. Elle fut transportée à La Voulte-sur-Rhône pour y être fondue et transformée en canon.

A partir de 1934, c’est l’abbé Debroas, aumônier de l’hospice de Villeneuve-de-Berg, qui assura le service paroissial.

Le tableau représentant la Descente de la Croix, exposé dans la chapelle située à gauche du transept, a été peint en 1945 par Mme Rosette Clapier.

Le 23 septembre 1953, à 23 heures, un cyclone balaya une partie du Bas-Vivarais, en particulier Saint-Andéol-de-Berg. Le clocher de l'église fut arraché et les vitraux cassés. Monsieur l'Abbé Debroas ouvrit une souscription et commanda les travaux. Les vitraux furent remplacés par M. Jean Balayn, de Loriol, maître en vitraux d'art. Le clocher fut refait en béton par l'entreprise "Comte" de Villeneuve-de-Berg. On en profita pour changer le Chemin de croix. Les quatorze stations furent sculptées sur bois, entre 1955 et 1957, par le lyonnais Maurice Tavernier.

Le 6 novembre 1955, jour de la Fête religieuse de Saint Léonard, le centenaire de l’église fut célébré en présence de Monseigneur Couderc, Évêque de Viviers. A cette occasion, une statue de la Vierge, venue de Lourdes, fut transportée très solennellement jusqu’à l’oratoire situé sur le chemin des Chabannes. Ce monument avait été édifié à son intention, à la suite de l'exaucement d’un vœu prononcé par Madame Jean Guigon, épouse du Maire, lui-même arrière-petit-fils du Maire de 1855.

A l'issue de la messe de Pâques célébrée par Monsieur l'Abbé Jean Ribon (Chancelier de l'évêché de Viviers), le dimanche 11 avril 2004, Monsieur Maurice Bousquet, maire de Saint-Andéol-de-Berg, a informé l'assistance de la réfection en cours du toit de l'église, et lui a présenté la statue en bois de la Sainte Vierge, installée jusqu'alors dans la niche située au-dessus du porche d'entrée de l'église et récemment déplacée à droite de la nef, à la croisée du transept. Sa complète restauration a été réalisée par Monsieur Jean Javaillon+ (résident de Saint-Andéol-de-Berg) et par Monsieur Bernard Silhol (menuisier à Villeneuve-de-Berg), et financée par une paroissienne de Saint-Andéol-de-Berg.

[modifier] Traditions : Fêtes et Jeu

Jusqu'en 1879, la Vogue de Saint-Andéol-de-Berg se déroulait le premier dimanche de mai, correspondant ainsi avec la Fête religieuse de Saint Andéol, patron du village, et avec la récolte des vers à soie. Le 15 février 1880, le Conseil municipal décida de la reporter au dimanche qui suit le 16 août, afin qu'aucune récolte ne souffre du temps perdu. Depuis l'été 1979 et la création du Comité des Fêtes actuel, une bombine (1) est servie sur la Place par les habitants de Saint-Andéol-de-Berg, le samedi soir et le dimanche soir de la Fête. D'abord concoctée dans l'ancien four (près de l'ancienne Mairie, devenue "Gîte d'étape" le 22 juillet 2000), elle l'est désormais dans le nouveau four, construit sur la Place et inauguré lors de la Fête des 22 et 23 août 1998. Elle est dégustée par de nombreux convives, sur la Place agrandie (suppression du lavoir et du jardin de la cure, celle-ci étant d'autre part devenue "Mairie" le 11 novembre 1995) et sous la halle couverte, inaugurées à l'occasion de la Fête des 16 et 17 août 1997. Les deux bals traditionnels et la marquisette (2) de la Fête de Saint-Andéol-de-Berg remportent chaque année un grand succès, de même que le concours de pétanque du samedi et le concours de boule lyonnaise (la Longue) du dimanche. Les exploits anciens et plus récents de fameuses triplettes et quadrettes locales alimentent encore les conversations.

Avant l'ère de la télévision, de longues et animées parties de Longue se déroulaient jusque tard dans la nuit, chaque samedi soir estival. Les jeunes estivants étaient très fiers d'être parfois admis à intégrer une quadrette d'adultes. En milieu de parties, ils vivaient comme une sorte de rite initiatique, l'honneur d'être associés à l'instant magique où Monsieur Paul Bousquet avait pour habitude d'offrir aux joueurs, un verre de vin local très apprécié.

Lors d'un repas convivial, les 94 habitants du village (recensement 1999) célèbrent chaque année le nouvel an, dans la salle des fêtes inaugurée le 10 mai 1986. Pour s'y rendre de la Place, on longe en descendant, une maison blanche qui abrita l'école publique jusqu'en juin 1971 (l'observateur attentif peut encore deviner aujourd'hui sa cour de récréation). On appelait "La Dame" sa dernière Institutrice (Professeur des écoles), Madame Irène Chandanson.

(1) Bombine : "Plat du pauvre" composé de pommes de terre coupées en petits cubes, mijotées à la cocotte, accompagnées d'olives noires, de morceaux de lard (ou d'agneau, ou de pied de veau...) et parfumées à la feuille de laurier.

(2) Marquisette : Boisson un peu "traître", mélangeant limonade, mousseux ou champagne, vin blanc, sucre, liqueur de mandarine impériale, rhum blanc, sirop d’orange, morceaux d’oranges et de citrons jaunes.

[modifier] Saint Andéol

Andéol : prénom provenant du grec Andros, homme, viril (qui donne aussi André, Andy, androgène, polyandrie).

Saint Andéol (Andeolus) est né à Smyrne (actuellement Izmir, Turquie) au II^e siècle. Sous-diacre, il est envoyé par Saint Polycarpe évangéliser le sud de la Gaule, en l'an 166. Il arrive ainsi dans le Vivarais (Ardèche actuelle). Septime Sévère, de passage dans la région, entend parler du saint homme. Il le fait mettre à mort, la tête transpercée par un couteau, le 1er mai 208, à Bergoiata, ancienne cité celte devenue Bourg-Saint-Andéol au XV^e siècle. On jette le corps dans le Rhône. Il est ensuite repêché et déposé dans un sarcophage, par une riche romaine (Anycia ou Amycia Eucheria Tullia, fille du sénateur Eucherius Valerianits (Eucher de Lyon), dont un ancêtre est cité favorablement par Jules César dans ses Commentaires sur la Guerre des Gaules). C'est ce sarcophage qui aurait été retrouvé en 1865, lors de fouilles effectuées dans la chapelle Saint-Polycarpe de l'église romane du XI^e siècle de Bourg-Saint-Andéol (Ardèche).

On dispose de peu d'images de ce Saint. Il est le plus souvent représenté tenant un livre et une palme, un couteau de bois planté dans la tête. On trouve un tableau le représentant, à l'intérieur de l'Eglise "Saint-Andéol" de Parisot. Voir les Notices du Ministère de la Culture sur le tableau et sur l'église (cliquer sur "Notice édifice").

On fête Saint Andéol le 1^er mai (selon Infocatho de la Conférence des Evêques de France) ou parfois le 4 mai (selon les lieux et les traditions).

Alignements des lieux baptisés « Saint-Andéol »

Trente-neuf lieux (voir la liste ci-après) sont baptisés "Saint-Andéol" entre Saint-Andelain (Nièvre) et Sant-Aniol-d'Aguja = Saint-Andéol-d'Aguja (Nord de l'Espagne). Leur représentation sur un plan fait apparaître de nombreux alignements presque parfaitement rectilignes entre certains d'entre eux. On constate par exemple que Saint-Andéol-de-Berg se trouve sur une ligne droite le reliant à trois villages presqu’à égale distance l’un de l’autre, soit 20 km environ (Bourg-Saint-Andéol, Saint-Andéol-de-Vals et Saint-Andéol-de-Fourchades). Cette particularité ne peut pas être le fait du hasard et conduit à s'interroger sur son origine et sa signification. L’abbé Onésime Mirabel, dans « Saint Andéol et son culte » (Paris - 1868), place le début ce culte au IX^e siècle (règne du Roi Louis 1er de France, dit Le Débonnaire ou Le Pieux. Des lieux consacrés à des dieux païens à l’origine furent-ils à cette époque consacrés à Saint Andéol par les chrétiens, selon une méthode alors courante? On trouve en France des alignements droits ou en spirale consacrés au géant « Isore » ou au Dieu « Lug ». Quel dieu païen Saint Andéol a-t-il chassé des lieux qui portent son nom?

Sites baptisés « Saint-Andéol »

1. Bourg-Saint-Andéol / Département 07 - Abscisse 784 km - Ordonnée 1933 km
2. Saint-Andéol-de-Berg / Dépt. 07 - Abs. 774 - Ord.1950
3. Saint-Andéol-de-Vals (ex Saint-Andéol-de-Bourlenc) / Dépt. 07 - Abs. 763 - Ord. 1968
4. Saint-Andéol-de-Fourchades / Dépt. 07 - Abs. 755 - Ord. 1985
5. Saint-Andéol-en-Trièves / Dépt. 38 - Abs. 853 - Ord. 2000
6. Saint-Andéol-en-Quint / Dépt. 26 - Abs. 831 - Ord. 1982
7. Chapelle "Saint-Andéol" (Monument Historique) - La Bâtie-Rolland / Dépt. 26 - Abs. 800 - Ord. 1954
8. Saint-Andiol / Dépt. 13 - Abs. 810 - Ord. 1874
9. Lac, Chapelle, Vestiges d'un village gallo-romain "Saint-Andéol" - Marchastel / Dépt. 48 - Abs. 659 - Ord. 1958
10. Saint-Andéol-de-Clerguemort / Dépt. 48 - Abs. 726 - Ord. 1923
11. Eglise de l'ancien Prieuré "Saint-Andéol" (Monument Historique) - Claveyson / Dépt. 26 - Abs. 806 - Ord. 2022
12. Eglise "Saint-Andéol" - La Valla-en-Gier / Dépt. 42 - Abs. 770 - Ord. 2048
13. Saint-Andéol-le-Château / Dépt. 69 - Abs. 784 - Ord. 2068
14. Chapelle médiévale "Saint-Andéol" (XIIe), Ecole et Place "Saint-Andéol" - Camaret-sur-Aigues / Dépt. 84 - Abs. 802 - Ord. 1905
15. Eglise, Nécropole, Quartier "Saint-Andéol" - Mazan / Dépt. 84 - Abs. 824 - Ord. 1899
16. Chapelle "Saint-Andéol" - Pranles / Dépt. 07 - Abs. 777 - Ord. 1977
17. Eglise "Saint-Andéol" - Montceaux-l'Étoile / Dépt. 71 - Abs. 731 - Ord. 2152
18. Saint-Andelain / Dépt. 58 - Abs. 647 - Ord. 2257
19. Saint-Andeux / Dépt. 21 - Abs. 734 - Ord. 2268
20. Viguerie "Saint-Andéol-d'Escoulenc" - Pradelles - / Dépt. 43 - Abs.722 - Ord. 1976
21. Mazan-l'Abbaye - Dépt. 07 : Abs. 739 - Ord. 1971 - Lieu où se croisent quatre alignements de sites baptisés "Saint-Andéol". Les Moines de l'Abbaye de Mazan sont très liés à l’Histoire de Saint-Andéol-de-Berg.
22. Eglise "Saint Andéol" dans le château de Polignac - / Dépt. 43 - Abs. 720 - Ord. 2010
23. Prieuré "Saint-Andéol" - Rocles - / Dépt. 07 - Abs. 749 - Ord. 1953
24. Sant-Aniol-d'Aguja - Espagne : Abs. 620 - Ord. 1704 - Longitude = 2°40 environ - Latitude = 42°19' environ.
25. Lac "Saint-Andéol" - Vestiges d'un village gallo-romain "Saint-Andéol" - Nasbinals / Dépt. 48 - Abs. 686 - Ord. 1964
26. Eglise "Saint-Andéol" - Séderon / Dépt. 26 - Abs. 855 - Ord. 1917
27. Eglise "Saint-Andéol" - Chabeuil / Dépt. 26 - Abs. 813 - Ord. 1993
28. Montagne "Saint-Andéol" - Chastel-Arnaud / Dépt. 26 - Abs. 827 - Ord. 1966
29. Colline "Saint-Andéol" - Cairanne / Dépt. 84 - Abs. 808 – Ord. 1919
30. Chapelle, Prieuré "Saint-Andéol-de-Vélorgues" - l'Isle-sur-la-Sorgue / Dépt. 84 - Abs. 817 - Ord. 1881
31. Chapelle "Saint-Andéol" - Le Barroux / Dépt. 84 - Abs. 821 - Ord. 1910
32. Ruines / Chapelle et Château du village disparu "Saint-Andéol-de-Trouillas" - Laval-Pradel / Dépt. 30 - Abs. 737 - Ord. 1915
33. Prieuré, Lieu-dit "Saint-Andéol" - Upaix / Dépt. 05 - Abs. 883 - Ord. 1929
34. Eglise "Saint-Andéol - Saint-Jacques" - Lentiol / Dépt. 38 - Abs. 818 - Ord. 2037
35. Eglise "Saint-Andéol" - Parisot / Dépt. 82 - Abs. 562 - Ord. 1918
36. Abbaye "Saint-Andéol" - Robiac-Rochessadoule / Dépt. 30 - Abs. 740 - Ord. 1922
37. Eglise "Saint-Andéol" aujourd'hui disparue - Vidauban / Dépt. 83 - Abs. 931 - Ord. 1833
38. Lieu-dit "Saint-Andéol" à Saint-Saturnin-lès-Apt / Dépt. 84 - Abs. 843 - Ord. 1886
39. Lieu-dit "Saint-Andéol" à Les Ollières-sur-Eyrieux / Dépt. 07 / Abs. 780 - Ord. 1982
40. Eglise "Saint-Acceul" seule église en France à porter le nom de ce saint, généralement assimilé à Saint Andéol - Écouen / Dépt. 95 - Abs. 602 - Ord. 2447

N.B. Coordonnées « Lambert II étendu » en km : repères bleus à l’intérieur du cadre des cartes au 1/25000 éditées par l’I.G.N. L’abscisse 600 km correspond à la longitude 0 grade du méridien de Paris ; l’ordonnée 2200 km correspond au parallèle de latitude 52 grades ou 46° 48’.

[modifier] Bibliographie

"Saint-Andéol-de-Berg - Notice historique" par Marius Ribon - Imprimerie Habauzit - Aubenas - 1938

"Voyage en Basse-Ardèche" par Pierre Ribon - Editions E.& R. - Valence - 1998 (dont Lieux baptisés "Saint-Andéol" : annexe N°7 rédigée par André Barbe)

[modifier] Administration

Liste des maires successifs

Elu le / en	Identité
18 mars 2001	M. Maurice Bousquet
23 juin 1995	M. Maurice Bousquet
15 avril 1993	M. Maurice Bousquet
24 mars 1989	M. Régis Ozil
4 juin 1983	M. Maurice Bousquet
19 mars 1983	M. Michel Laurent
2 septembre 1981	M. Maurice Bousquet
19 mars 1977	M. Charles Chandanson
21 mars 1971	M. Jean Guigon
28 mai 1965	M. Jean Guigon
15 mars 1959	M. Jean Guigon
25 avril 1953	M. Jean Guigon
20 mai 1945	M. Jean Guigon
19 mai 1935	M. Emile Meyras
19 mai 1929	M. Marcel Ribon
1925	M. Louis Béal
1919	M. Louis Béal
1912	M. Charles Soubeyrand
1908	M. Charles Soubeyrand
1904	M. Charles Soubeyrand
1901	M. Zéphyrin Roume
1900	M. Jules Guigon
1896	M. Jules Guigon
1892	M. Jules Guigon
1888	M. Jules Guigon
1884	M. Charles Soubeyrand
1881	M. Jean-Etienne Guigon
1876	M. Charles Soubeyrand
1874	M. Etienne Soubeyrand
1871	M. Etienne Soubeyrand
1853	M. Jean-Etienne Guigon
1851	M. Antoine Boyron
1848	M. Jean-André Geneston
1843	M. Jean-André Geneston
1841	M. Jean Soubeyrand
1835	M. André Geneston
1829	M. Antoine Guigon
1825	M. Antoine Soubeyrand
1821	M. Antoine Soubeyrand
1815	M. Antoine Soubeyrand
1812	M. Antoine Soubeyrand
1805	M. Jean Guigon
1799	M. Antoine Soubeyrand

[modifier] Démographie

Évolution démographique

1962	1968	1975	1982	1990	1999
82	87	50	85	99	94
Nombre retenu à partir de 1968  : Population sans doubles comptes

[modifier] Voir aussi

• Communes de l'Ardèche
• Saint Andéol
• Villeneuve-de-Berg

[modifier] Liens externes

• Site de Saint-Andéol-de-Berg
• Villeneuve-de-Berg
• Saint-Andéol-de-Berg sur LINTERNAUTE
• Saint-Andéol-de-Berg sur le site de l'Institut géographique national
• Saint-Andéol-de-Berg sur le site de l'Insee
• Saint-Andéol-de-Berg sur le site du Quid
• Communes les plus proches de Saint-Andéol-de-Berg
• Localisation de Saint-Andéol-de-Berg sur une carte de France
• Plan de Saint-Andéol-de-Berg sur Mapquest
• Le lac "Saint-Andéol" - Marchastel (Lozère)
• Le lac "Saint-Andéol" dans "Légendes et pèlerinages" - Marchastel (Lozère)
• Eglise "Saint-Andéol" de La Valla-en-Gier
• Saint-Andiol
• Mazan
• Pays de Berg