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Entre 1977 et 1978, alors qu'une certaine libéralisation du régime est amorcée après la mort de Mao, les Chinois furent autorisés à critiquer ouvertement le régime, en particulier au moyen de dazibao.
Le nom Printemps de Pékin vient d'une analogie avec le Printemps de Prague, survenu en 1968. Cette révolution témoigne de la volonté de réformer le régime. Les étudiants chinois réclament plus de liberté. C'est à la suite de ce mouvement qu'apparaît la Fédération autonome des syndicats de Pékin. Mais, la libéralisation n'est pas totale car l’armée se rallie aux conservateurs. C’est ainsi que la manifestation sur la place de Tien An Men est écrasée dans le sang en 1989 Ces épisodes donnent naissance au "capitalismo-communisme". En clair, l'ouverture du pays à l'économie de marché, sans démocratie, est pour le compte de la seule nomemklatura.