Huizong

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Huizong, empereur chinois, le huitième de la dynastie Song, il fut un grand peintre de fleurs et d'oiseaux. Il se lance à la reconquête de Pékin contre les Kitat, en s'associant avec les Jürchen

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L'empereur Huizong, de son vrai nom Zhao Ji (1082 - 1135), était le onzième fils de l'empereur Shenzong. Cela signifiait, pour ce jeune homme, qu'il n'avait pratiquement aucune chance de devenir empereur et qu'il était libre de se consacrer aux vraies passions de sa vie, les arts et le taoïsme. Malheureusement pour Zhao Ji et son pays, il hérita du trône contre toute attente, à l'âge de dix-huit ans. Son manque complet de préparation, de capacités et d'intérêt pour cette tâche non désirée mena la Chine à un état proche de la faillite, avec le développement de la corruption et des abus de toutes sortes, et finalement à la perte de moitié de son territoire au profit des Jürchen. L'empereur, capturé par ces derniers à l'âge de 44 ans, mourut prisonnier huit ans plus tard, dans les steppes du Nord.

Huizong, pendant qu'il devenait plus tard notoire, a grandi insouciant de ce futur, à la compagnie des talents de scintillement qui ont recueilli dans la capitale. Son père, l'empereur Shenzong, était lui-même un exemplar du patron impérial généreux et élogieux. Il avait choisi en tant que ses beaux-fils deux peintres, Li Wei et Wangs distingués Shen, qui est allé bien en effet du jeune aux précepteurs Huizong dans l'art.

Vers le haut de jusqu'au temps de Huizong, les peintres sur la nomination à la cour ont constitué une académie lâchement définie de la peinture. Huizong a choisi de reformer ce système lâche, de le mettre dans l'ordre, pour les raisons fermes, et en outre d'avancer la profession de peindre à un état plus élevé que d'autres métiers, le rendant comparable à des arts tels que le calligraphy et la poésie. Il n'était pas difficile de trouver le modèle pour de tels artistes. Huizong lui-même l'a personnifié, en tant qu'un peintre, un calligraphe, et poèt accomplis, et ainsi a fait d'autres membres de la famille impériale. Il a présenté de nouvelles conditions curriculaires, y compris l'étude du calligraphy et de la poésie, et a codifié certains de nouveaux intérêts des peintres de poèt comme Su Shi en créant des associations entre la poésie et peindre.

Huizong a souligné trois aspects de la peinture. Était la première fois le réalisme, enraciné, il a exigé, dans l'étude soigneuse et directe de la nature. Les renderings soigneusement étudiés et réalistes de ses propres de petits oiseaux, les fleurs, et les roches toujours démontrent cette condition et sont devenus un legs à l'académie plus défunte de chanson. Huizong a également exigé, en second lieu, sur une étude systématique des traditions classiques de peinture du passé. Sa propre collection de gouvernement de peinture et de calligraphy était plus grande jamais formée, et son catalogue, le Xuan il unité centrale de Hua, est un document important en cours de canonisation. Des maîtres dans chaque tradition ont été rangés et ont passé commande plus ou moins en conséquence, de sorte que pour la première fois depuis le neuvième siècle la panoplie historique entière de peinture et de peintres ait été présentée clairement. Condition de Huizong la troisième était l'accomplissement « d'une idée poétique », ou shiyi, dans la peinture. Ses peintres ont été examinés pour leurs capacités imaginatives en poésies de dynastie de saveur de visualisation, par exemple, et c'était l'empereur lui-même qui a popularisé la première fois la combinaison physique réelle de la peinture, de la poésie, et du calligraphy dans un travail simple. Cette combinaison, connue sous le nom de trois Perfections, ou sanjui, deviendrait le mode favorisé de plus défunts artistes de disciple.