Hamani Diori
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Hamani Diori, de l'ethnie Djerma un des figures nigeriens à l'indépendance du pays. Il fut le premier président de la république du Niger 1916-1989. Un des artisans de la création de la Francophonie qui s'apelait ACCT (Agence pour la Coopération Culturelle et Technique). Son régime a été renversé par le coup d'État du général Seyni Kountché le 15 avril 1974 ou la tragedie lui a couté la personne la plus chère de sa vie: sa femme Aïchatou Diori.
Fils d'un fonctionnaire de santé publique Djerma dans l'administration coloniale française. Né le 6 juin 1916 à Soudouré ( un village à 12 km de la ville de Niamey). Après ses études de formation de professeur à l'école normal William Ponty, à Dakar (Sénégal), il a travaillé en tant que professeur dans les écoles régionaux de sont pays 1936-1938, puis instructeur de langue Zarma et Haoussa à l'institut des études d'autre-mer à Paris.
1946, il était l'un des fondateur du Parti Progressif Nigerien (PPN), branche locale du Rassemblement Démocratique Africain (RDA). Plu-tard dans cette année, il sera élu député représentant du Niger à l'Assemblée nationale française. Aux élections de 1951, Diori a connu la défaite devant son cousin et rival politique (Djibo Bakary), puis réelu à nouveau dans l'Assemblée en 1956, et il était le député haut choisi des électeurs.
1958 au moment du référendum qui a accordé pour les communautés d'autre-mer de mettre en place un gouvernement responsable du territoire, Diori a fait campagne pour le Oui, et il est devenu président du gouvernement temporaire, puis premier ministre en 1959. A cet époque le gouvernement française a interdit tout les partis politiques, et le PPN-RDA, faisant efficacement le Niger à l'état d'un parti unique.
11 novembre 1960, l'Assemblée nationale nigerienne (ou ne résidait qu'un parti unique) donna la place du président de la république a Diori Hamani, suite à l'indépendance du pays le 3 août 1960. Pendant son régime le gouvernement de Diori a favorisé les Samaria (des structures traditionnelles regroupant des jeunes filles et garçons) aux intérêts du parti et tout en conservant aussi des liens économiques étroites avec la France. Sans opposant réelu en 1960 et 1970.
Il a gagné le respect du monde pour sont rôle en tant que porte-parole des affaires africains et arbitre populaire dans les conflits impliquans d'autre nations africaines. Cependant son administration est enborchu de nombreuse corruption, une famine catastrophique répandu dans tout le pays, apportée par la dégradation du sahel aux début des années 70. Les désordres civiles répandu à suivit des allégation que quelques ministres du gouvernement détournaient des stocks d'aide alimentaire, et le gouvernement ne pourrait pas mettre en application des reformes si nécessaire ou alléger la famine répandu dans le pays depuis 1968. Diori à était sans doute victimes de la trop grande importance qu'il attachait aux questions international et qui devaient détourner sont intention a ces questions intérieurs immédiat, qui certainement ont contribués aussi a hâté les militairs à la chute de son régime.
15 avril 1974, un coup d'État réussi contre le régime de Diori, mené par le lieutenant colonel Seyni Kountché, chef d'état-major de lors. Tout les responsables de son régime ont était maintenus, la première dame Aïchatou Diori fut assassiné, et Diori fut emprisonné 6 ans à Zinder, puis maintenu en résidence surveillée à Niamey 1980-1987.
Libéré en 1987 par le successeur de Kountché (Ali Saïbou), peu après sont accédassion au pouvoir. Diori a quitté sont pays pour le Maroc, ou il serait mort le 23 avril 1989 à Rabah.
