Chopper (film)

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Chopper est un film de Andrew Dominik sorti en 2000. Ce film retrace la vie d'un criminel australien auteur de best-sellers.

Sommaire

1 Synopsis
2 Fiche technique
3 Distribution
4 Anecdotes
5 Liens externes

[modifier] Synopsis

Ce premier long métrage d'Andrew Dominik raconte la vie de l'ennemi public n°1 en Australie, le très charismatique Marc "Chopper" Read. En voulant s'imposer comme le Caïd dans le cartier haute sécurité d'un pénitencier australien, où il est incarceré pour avoir monter un attentat contre un juge, Chopper assassine Keithy George. Ce petit incident, très courant en prison, va être un agent capital dans le définement de sa vie.

Trahi, craint et acclamé par des milliers de fans à travers le monde Chopper nous mène par le bout du nez à travers son histoire. Il ment comme il respire, il charitable au tempérament chaud, ce tueur en série peut tourner toute une situation en sa faveur et peut se justifier sans être cerné.

[modifier] Fiche technique

Titre : Chopper
Titre original : Chopper
Réalisateur : Andrew Dominik
Distributeur en France : Sagittaire Films

[modifier] Distribution

Eric Bana : Marc "Chopper" Read
David Field : Keithy George
Simon Lyndon : Jimmy Loughnan
Daniel Wyllie : Bluey

[modifier] Anecdotes

Pour mieux concentrer l'œuvre sur le héros, Andrew Dominik a utilisé de multiples effets et techniques. Comme l'explique le chef opérateur : « Vous ne trouverez pratiquement aucune teinte chair naturelle dans ces épisodes. Tout y est présenté à travers le regard de Chopper, avec des effets de distorsion et des stimuli visuels accentués ». Par example, l'image accélère quand les acteurs sont shooté à la Coke.

Il y a aussi la scène inoubliable où Chopper explique la vraie raison pour laquelle il a tué Sammy Le Turc. D'abord dans un style dramatique et ensuite ça vire vers une forme quasi vaudevillesque. Sur ce sujet, Andrew Dominik s'exprime : « En multipliant les approches sur ce crime (dont Chopper fut finalement disculpé), nous avons voulu montrer comment un événement dramatique et écœurant finit par se transformer en une anecdote burlesque. Ce processus me paraît extrêmement troublant, mais il faut rappeler que la plupart de ces horribles meurtres perdent graduellement de leur impact et se banalisent au fil des ans. Au point que les gens en oublient le caractère monstrueux, et viennent quelques années plus tard en touristes sur le lieu du crime pour s'y faire prendre en photo. ».