Équeurdreville-Hainneville

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Équeurdreville-Hainneville
Pays	France
Région	Basse-Normandie
Département	Manche
Arrondissement	Cherbourg-Octeville
Canton	Équeurdreville-Hainneville (chef-lieu)
Code INSEE	50173
Code postal	50120
Maire Mandat en cours	Bernard Cauvin 2001-2008
Intercommunalité	Communauté urbaine de Cherbourg (CUC)
Latitude	19° 38' 54" Nord
Longitude	01° 39' 17" Ouest
Altitude	0 m (mini) – 173 m (maxi)
Superficie	1 283 ha = 12,83 km²
Population sans doubles comptes	18 173 hab. (1999)
Densité	1416 hab./km²

Équeurdreville-Hainneville est une commune du département de la Manche, dans la région Basse-Normandie, en France.

[modifier] Géographie

Équeurdeville-Hainneville est située au nord du Cotentin, dans le département de la Manche. Elle est mitoyenne de Cherbourg-Octeville, qu'elle borde sur son côté est. C'est la porte d'entrée de la Hague.

[modifier] Histoire

Le 1er janvier 1965, Équeurdreville et Hainneville fusionnent, devenant une commune de 12 000 habitants environ.

[modifier] Administration

Période	Identité	Parti	Qualité
Liste des maires successifs
- - -	Hippolyte Mars	PS	-
mars 2001 - -	Bernard Cauvin	PS	ouvrier
Toutes les données ne nous sont pas encore connues.

[modifier] Démographie

Évolution démographique
1962	1968	1975	1982	1990	1999
11 742	12 145	12 647	13 332	18 256	18 173
Nombre retenu à partir de 1962 : Population sans doubles comptes

[modifier] Lieux et monuments

Équeurdreville-Hainneville est l'une des rares villes où le monument aux morts est d'inspiration pacifiste. En effet, au lieu de "mort pour la patrie", il y est écrit "Que maudite soit la guerre". Il a été sculpté par Émilie Rodez à la demande du maire d'alors, Hippolyte Mars.
Le site de Brécourt^[1], propriété de la Marine nationale. Originellement parc à combustible d'une capacité de 80.000 m³, construit à partir de 1932 et mis en service en 1938, il fut saboté lors de la prise de Cherbourg en 1940, puis devait devenir une base de lancement de V2 du Mur de l'Atlantique, puis le plus grand site de montage et de lancement de V1 en Europe si les travaux avaient été menés à terme. Le site est classé aux monuments historiques depuis 1995. Churchill visitant le complexe à la Libération aurait lâché une pomme qu'il mangé de stupeur face à l'ampleur des installations en s'écriant « Oh my Gog ! ». Depuis un pommier pousse à cet endroit.